Relations avec
les éleveurs

Relations avec
les partenaires

Modèle canadien pour le prix du porc

Peut-on déterminer le prix du porc canadien? C’est entre autres choses pour répondre à cette question que le Groupe AGÉCO a réalisé une recherche, en partenariat avec le Groupe GIRA, à la demande du Conseil canadien du porc, pour répondre notamment à la préoccupation des éleveurs de l’ensemble du Canada sur le prix du porc. L’étude visait à cerner les facteurs qui contribueraient à établir la valeur du porc canadien – en étudiant les quatre principaux marchés pour le porc canadien, soit les États-Unis, le Japon, la Chine et le Mexique – et proposer « une formule de prix canadienne », basée sur des indicateurs clés pour les porcs vivants.

Au terme de son analyse, le Groupe AGÉCO a jugé préférable d’établir un « modèle de prix de référence canadien » plutôt qu’une formule de prix. Ce modèle inclurait les abattoirs du Québec et de l’Ontario et intégrerait une part de référence de la valeur reconstituée de la carcasse américaine avec une « prime Japon » à l’intention des producteurs canadiens.
De plus, l’étude relève que ce modèle de prix de référence canadien pourrait constituer une base pour la négociation du prix du porc entre les éleveurs et leurs acheteurs.

Valorisation de L’Excellence du porc canadien

Le Conseil canadien du porc (CCP) souhaite faire reconnaître que le programme L’Excellence du porc canadien contribue à rehausser la valeur de la viande produite par les éleveurs canadiens selon les exigences de cette plateforme et vendue ici comme à l’étranger. Le CCP a amorcé des discussions en ce sens avec les transformateurs en vue de négocier un paiement direct pour chaque porc de marché vendu dans les différents abattoirs au Canada.

Agence de promotion du porc

La mise en place d’une agence de promotion et de recherche, permettant de prélever un tarif sur les importations de viande porcine au Canada, est suivie de près par le Conseil canadien du porc (CCP). Plusieurs rencontres ont eu lieu avec Agriculture et Agroalimentaire Canada pour l’instauration de l’agence. Le CCP est toujours dans l’attente d’une autorisation ministérielle pour sa mise en place.

Peste porcine africaine

Le Conseil canadien du porc a effectué plusieurs représentations auprès de l’Agence canadienne d’inspection des aliments et d’Agriculture et Agroalimentaire Canada pour les sensibiliser aux risques et aux conséquences de la peste porcine africaine et pour obtenir différentes aides financières afin de bien se préparer à y faire face en cas de son introduction au pays.

Un réel engouement pour le Porc Show

Les partenaires de la filière porcine québécoise étaient au rendez-vous pour le sixième Porc Show les 10 et 11 décembre 2019. Plus de 1 000 intervenants ont participé à l’événement le plus prestigieux du secteur porcin au Canada. Cet engouement démontre la volonté de tous les partenaires à travailler de pairs et à célébrer le porc du Québec, dont la réputation n’est plus à faire. L’événement est devenu, en six ans, le lieu privilégié de discussions et d’innovations pour le secteur porcin.

Appui à la Tablée des Chefs

Le Porc Show a été l’occasion d’appuyer de nouveau la Tablée des Chefs, à qui on a remis 5 000 $. Depuis le début de ce partenariat, un peu plus de 20 000 $ ont été remis à l’organisme voué à la culture culinaire des jeunes et à l’alimentation des plus démunis.

Implication de la relève culinaire

Les participants ont goûté différents plats de porc du Québec, dont un qui a valu la palme à trois étudiants de la Formation supérieure en cuisine de l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec dans le cadre du Concours de la relève culinaire Le Porc Show.

Participation des détaillants

Une cinquantaine de détaillants en alimentation étaient présents; un record. Au dîner, leurs efforts en promotion ont été soulignés dans une vidéo démontrant leurs initiatives consacrées à la valorisation du porc du Québec. Bouchers, gérants de catégorie, responsables du marketing, tous travaillent à faire connaître cette viande d’ici pour inciter les clients à faire le choix d’une source de protéine de qualité et à soutenir le secteur porcin québécois. Les détaillants ont aussi assisté à un atelier exclusif sur le prêt-à-manger, grâce à la variété offerte par le porc du Québec, incluant les tendances de la consommation, des idées innovantes et des façons pour les détaillants de se différencier autant dans la section de la viande que celle des mets cuisinés. L’atelier a été présenté par Francis Parisien, vice-président chez Nielsen et Arnaud Pesant, spécialiste en marketing alimentaire du prêt-à-manger.

Création de l’OBNL La corporation « Le Porc Show »

La création du Porc Show provient de la volonté de trois organisations, l’AQINAC, le Congrès du porc et les Éleveurs, de mettre sur pied un événement d’envergure national et international et d’en faire le carrefour de l’ensemble des partenaires de la filière. Après cinq ans de succès sans équivoque, et à la suite de la cessation des activités du Congrès du porc, il devenait sage et nécessaire de donner à l’événement une structure juridique, accompagnée d’une gouvernance clarifiée. C’est ainsi qu’a été créée La corporation « Le Porc Show », un organisme à but non lucratif qui confirme le partenariat d’affaires de l’AQINAC et des Éleveurs. Ces deux organisations deviennent les deux membres corporatifs de la nouvelle entité. La corporation est administrée par un conseil d’administration de 8 membres : 2 provenant de l’AQINAC, 2 des Éleveurs, 2 des abattoirs et 2 du secteur des produits et services.

Portée médiatique du Porc Show :

emplois et,G$à l’économie
québécoise

En 2019, les Éleveurs de porcs du Québec ont réalisé une étude d’impacts économiques du secteur porcin québécois à l’aide du modèle intersectoriel du Québec, en collaboration avec l’Institut de la Statistique du Québec, sur la base des données de l’année 2017.

Parmi les faits saillants, on relève que, dans toutes les régions du Québec, ce sont plus de 31 100 personnes qui travaillent dans les fermes d’élevage porcin, les meuneries, les établissements d’abattage et de transformation de viande de porc ainsi que tous les autres fournisseurs et membres de la filière. En 2017, les dépenses totales du secteur porcin se sont élevées à 5,14 milliards de dollars, ce qui représente une valeur ajoutée de 3,36 milliards de dollars à l’économie québécoise et 476 millions de dollars en revenus pour les gouvernements.

Les différents tableaux présentés dans le rapport annuel reflètent également les statistiques tirées de l’étude d’impacts économique du secteur porcin.

Relations
publiques

Relations
gouvernementales

Relations
médiatiques

Grâce aux communications publiques, les Éleveurs de porcs sont en mesure d’atteindre de nombreux objectifs stratégiques. Cette année, ils ont été interpellés sur plusieurs sujets qui n’étaient pas faciles à aborder. Malgré tout, la présence médiatique des Éleveurs est restée somme toute équivalente à celle de l’année précédente.

Au cœur de l’attention médiatique, il a été possible pour les Éleveurs de traiter notamment du nouveau guide alimentaire canadien, du bien-être animal, de la peste porcine africaine, des impacts du blocus chinois, de la crise du propane et de l’application de la nouvelle convention de mise en marché.

L’un des moments médiatiques marquants a été la brillante participation de Claude Émilie Canuel, copropriétaire de la Ferme les cochons du Roy, à l’émission Zone Franche, présentée par Télé-Québec. Animé par Isabelle Maréchal et Raed Hammoud, le débat s’articulait autour de la question : « Pour ou contre la consommation de viande ?».

2018
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